Glissements Progressifs Du Plaisir : 3 Ultime Expérience
Le vendredi, dès ma sortie du bureau, je me précipite chez Christian et Martine. Je
sais que Martine ne sera pas encore rentrée et jai hâte de profiter dun moment avec
Christian. Pourtant mon expérience avec elle ne ma pas déplu, bien au contraire, mais
cest de la queue de Christian dont jai envie.
Jai pris de lassurance : je toque à la porte et entre sans attendre. Je jette mon
sac sur le canapé et me rend directement dans sa chambre. Il est dans le lit, essayant
maladroitement de feuilleter des magazines. Les pansements de ses mains ont été
changés et sont moins volumineux, mais handicapants tout de même.
Je me précipite vers lui et lembrasse à pleine bouche avec une certaine fougue. En
même temps je glisse ma main sous la couette et palpe son sexe à travers son caleçon.
- Doucement, calme-toi
Il me repousse dun air amusé.
- Tu as le feu au cul, aujourdhui
- Jai envie de toi
- Ce nest pas une raison pour oublier les bonnes manières
Mets-toi en tenue ordonne-
t-il en me désignant la penderie
Je comprends quil veut que je remette le corset noir. Je me dirige vers la penderie,
ouvre grand la porte, celle qui a un miroir à lintérieur. Puis je me déshabille
hâtivement en laissant mes vêtements en tas sur le sol, moi, dordinaire, si soigneuse
de mes affaires. Je lace le bustier en le serrant au maximum pour mettre mon fessier
et ma taille fine en valeur. Je pivote devant le miroir. Je suis vraiment attirante.
Cela fait un peu fille de joie du début des années 1900.
Je me tourne vers Christian pour guetter ses instructions, prête à me ruer sur le lit
pour engloutir son sexe. Mais il ne lentend pas de cette oreille.
- Deuxième tiroir ordonne-t-il
Il est plein de collants fins.
- Mets des bas noirs, les Dim Up
Je massieds sur le lit et soigneusement jenfile les bas que je lisse sur mes jambes.
Debout de nouveau, je madmire dans la glace.
- La, tu fais vraiment pute, lache Christian, viens par ici
Il me regarde enfin ! Je mapproche du lit, frémissante de désir. Il me désigne la
table de chevet. Je n'y avais pas fait attention mais le plug est posé dessus.
Jhésite, mais son regard posé sur moi se durcit. Alors, rapidement je lenduit de ma
salive et je me penche pour le mettre en place. La salive est certainement inutile car
je mouille abondamment. Il se tourne vers lautre côté du lit, se penche et ramasse
difficilement quelque chose quil dépose sur la couette lorsquil est de nouveau sur
le dos.
- Mets également cela !
Je prends cette sorte de ceinture mais découvre quil sagit dun collier de cuir
assez large, noir, muni dune laisse. Je le place autour de mon cou et je serre la
boucle. Le cuir est souple, son contact agréable. Je jette un coup dil vers la
glace. Jai vraiment une allure particulière, très indécente, très impudique. Le
contraste entre ma peau très blanche et le noir des collants, du collier, de la
guêpière et de ma toison fournie me semble très excitant. Jimagine la tête de mon
mari sil me voyait ainsi harnaché Je suis follement excitée mais également envahie
par un sentiment de honte. Que suis-je en train de faire ?
Dune traction sur la laisse quil a enroulée autour de son avant-bras, Christian me
sort de ma réflexion.
- Mets-toi à genoux sur le bord du lit et suce moi, ordonne-t-il
Je mexécute alors sans discuter. Je repousse la couette vers le pied du lit, jadopte
la position demandée et abaisse mon visage vers son sexe que je ne tarde pas à
engloutir.
Christian enroule la laisse de quelques tours supplémentaires autour de son bras. Le
collier me tire vers sa queue que je ne pourrais pas recracher si je le souhaitais.
Mais je ne le souhaite pour rien au monde.
pour me regarder le sucer dans le miroir, mais peine perdue, je suis bloqué par la
laisse. Totalement soumise sans autre alternative que le sucer. Ce que je fais avec
enthousiasme. Je ferme les yeux et je suce comme si ma vie en dépendait. Jalterne les
mouvements de langue, la vitesse de mes va et vient, la pression de mes lèvres. Je
glisse une main entre mes cuisses et caresse mon clitoris gonflé. A genoux, la croupe
haute, mon petit trou obstrué par un bouchon en plastique, la tête sur son ventre, sa
bite dans ma bouche, incapable de bouger à part pour le sucer, jai limpression
dêtre totalement à sa merci, en son pouvoir, je suis dominée et ça me plait, ça
mexcite.
Tout à coup la porte dentrée claque. Jarrête net ma fellation.
- Ne bouge pas, me chuchote Christian
Tant quil ne relâchera pas la laisse je ne le pourrai pas.
Jentends la voix de Martine
- Il doit être dans la chambre
Elle sadresse à quelquun ! Elle nest pas seule ! Claquement de talons sur le
carrelage. Ils viennent ! Je nai pas le temps de paniquer, car jentends la voix de
Martine maintenant très proche :
- Eh bien, on ne sen fait pas
Elle doit être dans lembrasure de la porte, c'est-à-dire pile derrière moi. Jimagine
le spectacle que je lui offre, à genoux, en bas noirs, le cul offert. Et le plug fiché
dans mon anus
Quelle honte ! Jai limpression que mon cur va sarrêter de battre !
Et je ne peux même pas extraire la queue de Christian de ma bouche.
Jentends Christian répondre
- Il ny a pas de raison
Je ne te présente pas Christelle, tu lauras reconnue.
Puis il ajoute dun ton amusé
- Par contre Philippe, tu ne la connais pas encore. Cest la femme dun collègue. Un
sacrée suceuse dotée dun joli cul
- Je vois cela
La voix est grave, chaude. Je sens une main se poser sur mon cul.
une main masculine. Elle glisse sur mes fesses, entre elles, en suivant mon sillon
fessier pour sarrêter vers mon anus et jouer avec le plug. Puis la main sinsinue
entre mes cuisses et caresse mon sexe trempée. Un doigt me pénètre, puis un deuxième.
Je ne peux mempêcher de bouger mes hanches.
- Elle est chaude comme la braise, constate la voix, Tu permets Christian ?
- Je ten prie, « mi casa es tu casa »
- Attends, intervient martine, je vais te préparer
Jentends des bruissements détoffe et je me doute quils se déshabillent. Puis des
bruits de succion
- Dis donc Christian, Martine est toujours une sacrée suceuse.
- Oui, Christelle aussi. Il faudrait dailleurs quelle se remette au travail.
Il donne quelques coup sur la laisse et avec une docilité qui meffraie car je ne
lexplique pas, je reprends ma fellation. Je suis dominée, excitée et en colère. Je me
doute que cette irruption était préparée. Doù la laisse pour mimmobiliser. Je me
sens trahie, e et pourtant consentante
- Vas-y Philippe chuchote Martine.
Immédiatement je sens la pointe dun sexe à lentrée de mon ventre. Puis la queue
inconnue se fraye un passage et minvestit. Ce sexe me semble impressionnant. Il est
raide et jai limpression quil nen finit pas de me pénétrer
Je pousse un
gémissement
- Hummm, ça a l'air de te satisfaire
.
Etrangement je ne sens aucune jalousie dans la voix de Christian vis à vis de
Philippe, plutôt une satisfaction de lui montrer son autorité sur moi.. Mais je nai
guère le temps de mappesantir là-dessus car Philippe, linconnu que ma pénétré a
accéléré les cadences. De ma main je continue à titiller mon clitoris et le plug est
toujours présent dans mon anus. Jai, de plus, dans la bouche la queue de Christian
qui enfle, enfle, puis explose. Je sers mes lèvres autour de sa hampe et aspire les
dernières gouttes de son plaisir que je sens couler hors de ma bouche tant son
éjaculation a été abondante.
Et je sens lorgasme monter ! Cest comme une vague que je sens arriver, que je vois
grossir, qui va me submerger, qui me submerge, et où je me noie. Jai limpression de
perdre connaissance
Mes jambes me trahissent, je tombe à plat ventre, le sexe
désormais mou de Christian toujours dans ma bouche. Philippe massène de véritables
coups de boutoirs, allongé de tout son long sur moi, son ventre écrasant mes fesses à
chaque avancée. Il finit par senfoncer encore plus fort puis dans un grognement
sourd, il explose dans mon ventre
Je sens son sperme sécouler dans mon sexe
Il se
retire
- Viens nettoyer cela, ordonne-t-il à son tour
Christian a relâché la pression de la laisse et je peux me redresser suffisamment pour
sortir son sexe de ma bouche
Je tourne la tête, curieuse de découvrir cet inconnu qui
vient de me pénétrer et de jouir en moi. Jai un bref moment de soulagement : je ne le
connais pas. Il me semble que ma honte serait pire, intolérable, sil sétait agi de
quelquun de connaissance.
Il est nu, devant moi, me regarde un sourire amusé. Sans réfléchir, je prends son sexe
en bouche et le nettoie du mieux que je peux.
- Cest vrai que cest une sacrée salope. Il faudra que tu me la prêtes
Je ne peux pas rougir : je suis écarlate depuis quil est entré dans la chambre. Voilà
ce que je suis devenue pour eux : un jouet quon va se prêter
Jéclate en sanglots
Cest Martine que réagit la première en sasseyant à côté de moi. Elle passe sa main
sous mon menton et relève mon visage me forçant à la regarder
Avec mes joues pleines
de larmes et le sperme de son mari qui coule sur mon menton je ne dois pas être sous
mon meilleur jour ! Elle se penche pourtant vers moi, me lèche le menton, récupérant
ainsi le sperme de Christian puis membrasse à pleine bouche. Sperme et salive se
mélange dans un long baiser tendre mais passionné. Profitant que Christian sest
poussé, nous basculons sur le lit, enlacées et toujours nous embrassant. Christian
sort du lit et viens sassoir sur la chaise près du chevet. Philippe sort de la
chambre pour y revenir quelques temps après,
apportant une chaise une bouteille et des verres quil pose sur la table de chevet. La
langue de Martine tournoie toujours dans ma bouche et sa main est entre mes cuisses.
A la limite de mon champ de vision, je vois les deux hommes assis, qui nous observent,
chacun un verre à la main. Ou plutôt dans le cas de Christian entre les deux mains
La caresse de Martine entretient une excitation qui ne ma jamais quittée malgré mes
larmes. Je me dégoute à prendre tant de plaisir à ces pratiques. Jusquoù ces pervers
vont-ils memmener ? Je nen sais rien, mais je sais que jirai au bout de la honte.
Pourtant une voix, la voix de la raison, me dit quil faut que je réagisse que je me
reprenne avant que ce couple pervers ne mentraîne vers la déchéance et me transforme
en leur jouet sexuel. Pourtant comment abandonner un tel plaisir ? La jouissance que
je ressens à chaque fois métait totalement étrangère il y a moins dune semaine
Cest moi qui prends linitiative de ce 69 auquel nous nous livrons sous les yeux des
deux hommes. Martine lèche avec entrain et sans dégoût mon sexe doù sécoule le
sperme de Philippe. Je vois les deux hommes nous regarder. Ils sont en érection.
Philippe se masturbe doucement et masturbe de son autre main son complice handicapé.
Finalement, je repousse Martine et la fais mettre à genoux sur le bord du lit. Je me
mets à côté delle dans la même position. Jôte le plug qui ne mapporte plus rien
tant jai limpression dêtre en jouissance perpétuelle. Nous nattendons pas
longtemps car les deux hommes se sont levés et rapidement je sens la chaleur du sexe
de Christian que me pénètre tandis que Philippe sintroduit dans le ventre de Martine.
Après quelques instants de pilonnage intensif ils se retirent, changent de place et
recommencent, chacun avec sa nouvelle partenaire. Ils procèdent ainsi à plusieurs
échanges alors que Martine et moi subissons leurs assauts sans bouger. Nous sommes
réduits à des réceptacles, aussi considérées que des poupées gonflables. Cen est
trop
Cest le moment de réagir où bien je dois accepter de devenir une chienne, un
paillasson, une vestale dédiée à leur seul plaisir.
Mon choix est fait. Avant quils ne prennent de nouveau leur plaisir, je décide de me
venger de Martine car je nai pas apprécié son irruption dans la chambre. Je profite
que Christian est mon partenaire pour me dégager et le faire sallonger sur le lit.
Pensant à un changement de position, il obtempère et je repousse Philippe qui donnait
de coups de boutoirs dans le sexe de Martine. Joblige Martine à venir sempaler sur
son mari ce quelle fait bien volontiers Très vite elle monte et descend sur la queue
dressée tandis que Philippe attend que je lui propose une position. Mais ce nest pas
mon intention. Jappuie sur les épaules de Martine et la plaque sur le torse de son
mari.
- Je suis fatiguée dis-je à Philippe mais tu peux toujours trouver un refuge
Du regard je lui indique de fessier généreux de Martine. Christian vient de
comprendre. Il enserre sa femme de ses bras bandés pour limmobiliser tandis que
Philippe sagenouille derrière Martine.
Martine vient de comprendre également ce quils ont en tête
- Non, non Philippe, tu es trop gros, tu vas de déchirer, supplie-t-elle
Philippe enduit son engin de salive et le pointe à lentrée des reins de Martine.
Puis sans trop de ménagement il pousse. Celle-ci pousse un hurlement de douleur qui se
transforme en râle alors que Philippe est entré de toute sa longueur. Il sest
immobilisé. Puis les deux compères se mettent à bouger en rythme, chacun dans son
orifice. Je ne sais pas si les cris de Martine sont de douleur ou de plaisir, mais je
minstalle sur une chaise et, les cuisses écartées, je me caresse avec vigueur en
profitant à mon tour du spectacle offert. Leur gymnastique me semble soudain ridicule.
Ces fesses velues qui sagitent, les bourses de Philippe qui frappent le derrière de
Martine dans un bruit flasque, leurs ahanements poussifs et leurs grognements bestiaux
me dégoutent.
Les deux hommes éjaculent en même temps alors que je prends mon plaisir non pas au vue
de leur performance mais grâce à mes deux doigts que jai introduits dans mon sexe
tandis que de lautre main je sollicite mon clitoris. Il a dailleurs triplé de
volume
Je regarde les deux hommes, sur le flanc, tentant de reprendre leur souffle. Je
soupire et me lève. Je me débarrasse de mes accessoires, collier, guêpière, collants
et me rhabille sans un mot
Les hommes me regardent faire, immobiles et surpris, tandis que Martine git sur le lit
dans une position obscène, du sperme coulant de son sexe et de son anus distendu
Ont-
ils conscience davoir été trop loin avec moi ? Ont-ils conscience de mavoir dabord
hypnotisée puis dégoutée ?
Je nai pas remis ma culotte que je tiens à la main. Sous les yeux hébétés du trio je
ramasse le plug, et soulevant ma jupe je lintroduis entre mes fesses.
- Je lemmène, en souvenir leur dis-je dun ton ferme et méprisant. Il est de
meilleure compagnie que vous
Puis jenfile ma culotte et pars en récupérant mon sac au passage
Assise dans ma voiture, je sens mon objet intime, au creux de mes reins, dautant plus
que je suis assise dessus. Chaque chaos sur la route marrache un cri de plaisir. Je
rentre chez moi, je ne reverrai plus ce trio pervers. Le plug sera mon trophée et mon
souvenir. Je ne tenterai pas de le cacher. Mon mari le verra, il en tirera ses propres
conclusions. Et si mon plaisir le gêne, sil se désintéresse de mon corps, je sais
comment trouver du plaisir avec un petit bouchon de plastique qui, je le sens, va
devenir mon meilleur ami
.
Fin
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!